16 mai 2007
Il n'y a jamais assez de queue.
Seigneur, tel que l'o deur de la pourriture d'un poisson est répugnante. Le corps sans vie de cet être vivant. Son cœur ne bat plus, depuis bien des heures. Rien de plus agréable que ce moment. Ce bruit. Celui du broyer qui effile notre petit poisson...